Éditeur : Bayard Jeunesse
Pages : 308 pages
Parution : 30 Janvier 2014
Genre: Jeunesse
Résumé:
A 17 ans, il parait qu’on n’est pas normal si l’on passe ses soirées dans la bibliothèque de son lycée. Pourtant, je ne suis pas la seule à aimer étudier dans l’enceinte du prestigieux lycée d’Édimbourg, cette antique bâtisse peuplée d’ombres et de mystères. Car aujourd’hui, dans la salle de lecture, j’ai aperçu le plus beau garçon du monde plongé dans un vieux livre. Grand, la peau claire, il ressemblait à l’un de ces guerriers celtes que toute l’Europe redoutait au Moyen-âge. Or, en prêtant à ce garçon des origines aussi lointaines, je ne me suis pas trompée…
Mon avis:
Dans cet ouvrage on fait la connaissance de Liadan, une ado barcelonaise qui vient suivre sa scolarité en Ecosse. Après le décès de ces parents, elle souhaite découvrir les racines écossaises de sa mère. Lors de son année scolaire, elle tient après les cours, la bibliothèque du lycée. Elle y fait la rencontre de Alar, mais celui ci cache un secret. Il ne vient pas dans la même monde qu’elle, c’est un fantôme.
Ce que j’ai aimé dans ce livre, c’est les descriptions d’Edimbourg. J’ai encore plus envie de découvrir cette ville maintenant! Ce que j’ai moins aimé, c’est finalement la romance à laquelle je n’ai pas crue. Cela m’a gêné qu’ils puissent se toucher et que des fois il passe à travers les objets. La fin est surprenante aussi, elle arrive rapidement.
Suis d’accord avec ton commentaire. Le cote fake du couple m’a un peu deplue mais pour avoir été a edimbourg en janvier j’ai pas été décue !
Je l’avais déjà vu :p Un joli titre pour une ville qui donne envie d’aller en vacances se perdre dans les lands un peu plus au nord …
Oh que oui, les paysages décrit donnent envie !
Je prends note et pense le lire de mon côté.
Bonne découverte alors !
Merci pour ce billet! Je crois que c’est une histoire intéressante pour le lectorat identifié pas la catégorie. En plus, une bibliothèque à Edimbourg… Tout pour faire rêver!
J’avoue que ce livre m’a surtout fait de l’oeil puisqu’il se passait à Edimbourg ! Et je n’ai pas été déçue sur ce point, on parle bien de la ville.