Éditeur : Flammarion Jeunesse
Pages : 80 pages
Parution : 14 Avril 2021
Tome : 04/??
Genre: Jeunesse, Policier
L’histoire:
Panique à Tokyo ! Une malédiction s’abat sur la ville transformant les chats en statues. Charlock mène l’enquête pour découvrir la vérité. Lui et ses amis sont prêts à tout, même à affronter les terribles Chats-Mouraïs !
Mon avis:
C’est toujours un plaisir de découvrir les nouvelles aventures de ce duo de choc: Sébastien Perez pour l’écrit et Benjamin Lacombe pour les illustrations.
Pour ce quatrième tome de Charlock, nous nous retrouvons au Japon en compagnie de notre célèbre détective et de ses amis dans un bar à chats, nommé le ChatOuille. Ils sont inquiétés de voir un petit nouveau toujours dans la même position et saluant constamment. Que se passe-t-il derrière ce mystère ? Est-ce une malédiction ? Et voilà une nouvelle enquête qui se profile pour Charlock !
Comment toujours, on rigole bien au fil des pages de ce nouveau épisode. De nombreux jeux de mots sont présents. Ils nous font sourire et nous permettent de passer un moment de lecture. Ici la culture japonaise est présente avec des références cultes: les sushis, le karaté, les temples, les carpes koi, les cerisiers japonais… jusqu’aux fameux samouraïs ! L’enquête nous emmène à la rencontre d’un sage qui nous livre la légende des maneki-neko. Mais il est vrai que la conclusion est quelque peu brutale. Même si je me suis encore bien amusée, une fois l’épilogue arrivé, je suis restée sur ma faim. A voir pour les prochains, puisque je compte bien continuer cette saga !
Je n’ai toujours pas lu ce tome… J’avoue que j’ai beau trouver ça sympa, je trouve aussi les histoires répétitives…
Bah honnêtement quand j’ai terminé ce livre, je me suis dit : tout ça pour ça… Je ne dirais pas que la fin m’a déçue, mais plutôt que je m’attendais à mieux. Finalement, on peut même se demander pourquoi ce titre… Le concept est sympa, mais l’aventure de ce tome ne m’a pas vraiment convaincue. À voir la suite, mais comme tu le dis, ce tome donne l’impression que le concept s’essouffle.
Zut c’est bien ce que je craignais. Heureusement qu’on a toujours les jolis dessins de Benjamin Lacombe, même si je trouve que ça fait un peu cher juste pour eux ><