Séries

Lidia fait sa loi (La Legge di Lidia Poët – Netflix)

Acteurs : Matilda De Angelis, Eduardo Scarpetta, Pier Luigi Pasino, Sara Lazzaro, Dario Aita
Réalisateur : Guido Iuculano et Davide Orsini
Audio : Français
Durée : 140 minutes
Genre: Historique, Policier

 

L’histoire:

Dans ce drame historique captivant, Lidia Poët enquête sur des meurtres et lutte pour exercer le droit.

Inspiré de l’histoire vraie de la première femme avocate d’Italie.

 

Mon avis:

Mini-série en 6 épisodes inspirée de la vie de la première avocate italienne, Lidia Poët, on suit notre héroïne tout juste proclamée avocate, puis révoquée et devenant l’assistante de son frère Enrico Poët.

Femme forte et courageuse, elle souhaite montrer à tous, qu’elle est capable de mener une enquête et la résoudre afin d’innocenter ses prévenus. Et les mystères à élucider sont nombreux, que ce soit dans cette société italienne du XIXème, ou pour la famille Poët. Chaque épisode nous présentent une nouvelle enquête, et le moins que l’on puisse dire et que la jeune femme ne passe pas inaperçue. Au fur et à mesure, nous faisons connaissances avec les autres personnages principaux. Il faut dire que son frère Enrico fait pale figure par rapport à elle. Il lui manque clairement sa force de conviction et son engagement. Jacopo son beau-frère et journaliste, nous intrigue et autant le dire à juste titre. Et pour les autres membres de la famille Poët, ils sont à la fois touchant et agaçant !

Au fil des épisodes, on ne peut que s’attacher à Lidia. Impressionnante, elle solutionne chaque énigme criminelle avec cœur. Bien construite, on reste en suspense comme elle jusqu’au bout.  L’actrice est convaincante et joue très bien le rôle de cette femme féministe et engagée. L’intrigue de certains épisodes soutiennent d’ailleurs le parcours de vie de femmes combattantes et indépendantes.

Les décors et les costumes nous transportent directement au XIXème siècle. Le hic est la musique… Comme avec la série Bridgerton, le choix a été d’apporter une touche de modernité. Ici, pas d’adaptation de grands titres en version classique, mais l’insertion de morceaux bien rock ! Même si j’apprécie grandement cette musique, c’est ma seule déconvenue… Bon je vous rassure, cela n’arrive pas souvent : le générique de fin et des fois dans l’intrigue. Et autre point commun avec Bridgerton, les passions amoureuses et sexuelles de notre héroïne sont filmées avec son amant et un autre personnage.

En bref, une mini-série rythmée et engagée qui nous montre le parcours d’une femme féministe et ô combien courageuse.

  • Qui était Lidia Poët ?
    Première femme avocate italienne, elle fut révoquée quelques mois plus tard, en 1884. La Cour de cassation estime que la profession d’avocat est réservée aux hommes, et qu’elle n’a pas d’autorisation maritale puisqu’elle est célibataire. Néanmoins, elle peut exercer le droit et se fait embaucher dans le cabinet de son frère. Elle s’engage dans la défense des droits des mineurs, des personnes marginalisées, des prisonniers et des femmes. Pionnière de l’émancipation des femmes, elle œuvra pour l’abolition de l’autorisation maritale, deviendra la présidente du comité pro-vote des femmes, permis la création de tribunaux pour enfants de la sanction à la réinsertion et soutiendra le droit de vote ou encore l’égalité des sexes. A l’âge de 65 ans, Lidia Poët entre finalement au barreau, devenant officiellement avocate.
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Doc – Nelle tue manie

DOC

Acteurs : Luca Argentero, Matilde Gioli, Gianmarco Saurino, Sara Lazzaro, Silvia Mazzieri,
Simona Tabasco, Giovanni Scifoni, Alberto Malanchino, Maria Rosaria Russo, Gianmarco Saurino, Raffaele Esposito, Pierpaolo Spollon, Elisa Di Eusanio
Réalisateur : Viola Rispoli, Francesco Arlanch
Audio : Italien, Français
Durée : 150 minutes
Genre: Médical, Drame

 

L’histoire:

Les aventures d’un médecin, qui, suite à un traumatisme crânien, souffre d’une perte de mémoire partielle permanente mais trouve toujours une nouvelle manière d’exercer sa profession.

La série est inspirée de la véritable histoire de Pierdante Piccioni, médécin à l’hôpital de Lodi, en 2013, impliqué dans un accident de voiture qui lui a causé un traumatisme crânien. Il y perd 12 ans de sa mémoire mais recommencera à travailler.

 

Mon avis:

Récemment diffusée sur TF1, la série italienne DOC suit les aventures d’un médecin, qui, après avoir reçu une balle dans la tête, souffre d’une perte de mémoire partielle permanente. Il n’a plus aucun souvenir de ces 12 dernières années. Tous ses proches sont soudain devenus des étrangers, et l’hôpital est le seul endroit où il se sent vraiment chez lui. Il va alors trouver une manière de continuer à exercer sa profession, réapprendre son métier et reprendre en main sa vie personnelle.

Cette histoire incroyable est pourtant vraie. Le personnage existe réellement. Son nom n’est pas Andrea Fanti mais Pierdante Piccioni et il a, tout comme son homologue télévisé, été victime d’une perte de mémoire de 12 ans. Il a raconté son histoire dans un livre, intitulé Meno dodici (qui signifie “Moins douze” en français), publié en 2016 et encore inédit en France.

Vous serez sûrement étonné que je vous parle d’une série médicale sur le blog, étant plutôt habitué à des articles sur des séries historiques. Hé bien, justement il y a un lien et il s’appelle Luca Argentero ! J’ai connu cet acteur dans la mini série La baronessa di Carini au côté de Vittoria Puccini, et je l’ai grandement apprécié. C’est ainsi que je me suis intéressée à la série, et j’ai tout de suite accrochée. Pourtant pas très fan des séries qui se déroulent dans le milieu de la médecine, j’ai été touchée par l’histoire. Peut-être est-ce aussi dû au fait qu’elle est inspirée d’une histoire vraie, qui la rend d’autant plus touchante et emplie d’émotion. Il faut d’ailleurs savoir que Pierdante Piccioni a participé à l’élaboration du scénario; on le voit aussi dans l’épisode 2 où il incarne un patient; et a coaché Luca Argentero pour l’interprétation de son personnage. J’ai d’ailleurs trouvé l’interprétation de l’acteur très impressionnante, il joue finalement 3 rôles, 3 personnalités différentes d’un même homme.

Comme vous l’aurez compris, j’ai grandement aimé cette série. Je ne peux que vous la recommander. Même si vous ne regardez pas ce genre de série habituellement, peut-être que comme moi vous allez être conquis par son côté très humain. 

 

 

L’acteur Luca Argentero avec le Dr. Pierdante Piccioni.

Luca Argentero et Pierdante Piccioni

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Top 10 – Meilleures séries historiques espagnoles et italiennes

 

On connait tous les belles productions que les anglais peuvent faire en terme de films et séries d’époque, mais si on changeait de pays, et qu’on découvert ensemble ce que font les italiens et les espagnols. Après le succès de “Las Chicas del cable” soit Les demoiselles du téléphone, l’idée m’est venue de vous présenter d’autres séries produites par ces derniers. 

Allez en route !

 

ESPAGNE

Grand Hotel

Grand HotelCette série nous emmène à Cantaloa en 1905, où le charmant Julio est engagé comme domestique au prestigieux Grand Hôtel. En réalité, il vient enquêter sur la mystérieuse disparition de sa sœur employée comme gouvernante. Très vite, il tombe amoureux d’Alicia, la belle héritière du palace, promise au sombre Diego. Tous deux vont découvrir qu’au Grand Hôtel, personne n’est ce qu’il paraît être…

Une série qui mêle disparitions, mystères, amours impossibles et rebondissements, au cœur de l’aristocratie espagnole du XXème siècle.

Lien de ma chronique sur cette série

 

Les demoiselles du téléphone

Les demoiselles du téléphoneCette série raconte l’histoire d’une compagnie qui a changé la manière de voir les médias de communication à travers le monde. Dans les années 20, le téléphone a changé la manière de communiquer des gens. C’est une histoire qui parle du fait que ces nouveaux médias modifient la société. Ces standardistes partagent les secrets, les amours, les peines des interlocuteurs…

Lien de ma chronique sur cette série

 

Tiempos de Guerra

Tiempos de guerraCette série se passe en pleine guerre du Rif entre l’Espagne et le Maroc. Elle est donc inspirée de faits rééls. On entre dans le quotidien d’un groupe d’infirmières. De tous âges et issues de la haute société, elles sont envoyées par la reine Victoria Eugenia au chevet de soldats blessés au sein de l’hôpital de Melilla. Le 29 juillet 1921, en pleine guerre du Maroc, la duchesse de Victoria arrive avec un groupe d’infirmières pour stabiliser l’hôpital de la Croix Rouge.

Romance, guerre et lutte des classes rythment la série.

Retrouvez ma chronique sur cette série prochainement sur le blog

 

Mais aussi sur le blog Tierra de Lobos, L’espionne de Tanger inspiré du roman de María Dueñas, Alta Mar; ou encore La cathedral del mar, El Capitan, Águila Roja, El corazón del océano, Velvet…

 

 

ITALIE

Elisa di Rivombrosa

Elisa di RivombrosaCette série raconte la passion entre le comte Fabrizio Ristori et Elisa Scalzi sur un fond de complots politiques, de jalousies, d’intrigue amoureuses et de combats dans l’Italie du XVIIIe siècle. C’est également une excellente peinture sociale de l’époque. 
L’intrigue se situe dans le cadre du Royaume de Piémont-Sardaigne, sous le règne du roi Charles-Emmanuel III de Sardaigne ainsi qu’au Royaume de Naples dans un grand nombre de lieux différents (Palais royaux, châteaux, parcs, milieux urbains, paysages ruraux, villages, ports…). L’ensemble des saisons (soit 2 au total, et une suite) forme une véritable saga de la dynastie des Ristori di Rivombrosa entre 1767 et 1800.
La série est librement inspiré du roman de Samuel Richardson, Pamela ou la vertu récompensée

Lien de ma chronique sur cette série, et sa suite

 

Terra Ribelle

Terra RibelleOn pourrait qualifier cette série de “romantic-western”. Nous nous retrouvons plongé dans la “Maremma” (un région rurale de la Toscane) au milieu du XIXème siècle. Andrea et Iacopo sont des amis depuis leur enfance et on grandit ensemble. Le premier est le fils d’une servante et l’autre le fils du propriétaire terrien. Ils tombent amoureux de la même femme, Elena, dont la soeur Luisaa été promise en mariage à Iacopo par le père des deux jeunes femmes. En effet, celui-ci, malgré son titre de conte est tombé en disgrâce financière (en raison d’une malversation financière de sa banque …), et afin d’éponger ses dettes, il se voit dans l’obligation de donner sa fille aînée en mariage à Iacopo. 

Cette série traite également de l’injustice entre riches et pauvres, des droits des femmes à une époque où leurs droits étaient fortement limités. ou elles étaient également traitées comme marchandises d’échange (des sujets toujours d’actualité malheureusement). 

Lien de ma chronique sur cette série

 

La dama velata

La dama velataCette série se passe au début du XXème siècle, Clara Grandi est une jeune comtesse rejetée par sa famille et qui se voit contrainte par son père, d’épouser Guido Fossà, don juan au passé trouble. Bien des mystères en découlent de cette union, mais surtout le passé qui a tenu Clara loin de sa famille, et les complots sombres qui en sont responsable.

A travers cette série, on suit l’évolution des règles sociales strictes qui évoluent vers un fonctionnement plus moderne.

Lien de ma chronique de cette série

 

Sissi, la naissance d’une impératrice

Sissi, la naissance d'une imperatriceOn connait tous la version de Sissi avec Romy Schneider, et on peut dire que rien que de réussir à passer après cette fabuleuse actrice, ça vaut le détour ! Ici une autre vision nous est proposée, sous forme d’une mini série qui met l’accent sur la véritable histoire de Sissi et ses difficultés à s’intégrer, mais aussi avec sa famille, ses enfants et la politique.

Lien de ma chronique de cette mini-série

 

La Baronessa di Carini

La baronessa di CariniCette série est inspirée d’une légende sicilienne. On suit l’histoire de Laura qui est donnée en mariage au baron de Carini, Don Mariano La Grua, un homme violent et autoritaire. La vie de la jeune baronne semble destinée au malheur jusqu’à la rencontre avec Luca Corbara, un jeune noble qui arrive en Sicile, à la recherche de ses origines grâce à un médaillon sur lequel est inscrit un nom de provenance mytérieuse : Vernagallo.

Lien de ma chronique de cette mini-série

 

Mais aussi sur le blog Il falco e la colomba inspiré du roman de Stendahl, La freccia nera inspiré du roman de Robert Louis Stevenson; ou encore Les Médicis : Maîtres de Florence, Anna Karenine avec Vittoria Puccini… et prochainement Leonard de Vinci avec Aidan Turner 

Séries

La baronessa di Carini

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Synopsis:

Sicile, 1860. Laura est donnée en mariage au baron de Carini, Don Mariano La Grua, un homme violent et autoritaire. La vie de la jeune baronne semble destinée au malheur jusqu’à la rencontre avec Luca Corbara, un jeune noble qui arrive en Sicile, à la recherche de ses origines grâce à un médaillon sur lequel est inscrit un nom de provenance mytérieuse : Vernagallo.

Lien vers la bande d’annonce: https://www.youtube.com/watch?time_continue=29&v=XymKYTCoM6I

 

 

Mon avis:

La Baronne de Carini est un film en 2 parties de 1h40 diffusée en 2007 sur Rai Uno, une chaîne italienne. L’histoire se déroule en 1860, en Sicile. La comtesse Laura quitte le couvent pour épouser un homme froid et violent, le baron de Carini, Don Mariano La Grua. Sa vie n’est pas facile, elle ne sort très peu, son mari préférant la voir cloîtrer dans son domaine. Dès ses premiers pas, elle s’est sentie mal à l’aise dans cet environnement. L’arrivée de Luca Corbara, un cartographe venu dessiner le fief de La Grua, va l’aider à résoudre un certain nombre de mystères les concernant tous les deux.

J’ai aimé retrouver Vittoria Puccini, que l’on peut voir dans la série Elisa di Rivombrosa. J’ai fait aussi la connaissance de Luca Argentero, qui est un homme très charmant. Même si leur histoire d’amour commence très vite, on arrive tout de même à y croire. Les deux acteurs forment un beau couple et dégage une alchimie. En plus de cette romance, on peut voir les progrès de la science. La pratique de l’hypnose et la cartographie avec les étoiles nous sont dévoilés.

Le synopsis est basé sur une légende sicilienne qui raconte la vie tragique de Laura Lanza, une baronne assassinée au XVIe siècle. Le fantôme de cette jeune femme hanterait le château. La légende a tout de même était modifiée dans la série. Le meurtrier de Laura serait son père, qui l’aurait surprise avec son amant. Le château que l’on peut voir, est d’ailleurs le véritable, soit le château de Mussomeli.

Un bon moment de détente vous attend, avec cette romance entourée de mystère à résoudre.

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4 étoiles - série

Séries

Squadra Criminale

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Acteurs : Miriam Leone, Matteo Martari, Thomas Trabacchi, Luca Terracciano
Réalisateurs :  Claudio Corbucci, Giuseppe Gagliardi
Audio : Italien, Français
Sortie : 17 Mai 2017
Genre: Policier

 

L’histoire:

Inspectrice à la brigade criminelle de Turin, Valeria est une enquêtrice aussi tenace que talentueuse. La jeune femme s’attache à reconstituer le puzzle complexe qui se dissimule derrière chaque affaire, tout en luttant contre les fantômes de son passé. Ceux-ci ressurgissent violemment dans sa vie au moment où sa mère est libérée de prison…

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Mon avis:

“Non uccidere”, diffusé sur Arte sous le nom de “Squadra Criminale” est une nouvelle série policière italienne créé par Claudio Corbucci.

Je ne suis pas trop série policière mais pourtant celle-ci m’a plu pour son originalité. Chacune des enquêtes de Valeria Ferro se déroule sur deux épisodes. On y retrouve une ambiance très sombre, à la fois par les enquêtes menées, mais aussi à cause du passé que notre héroïne essaye de comprendre. L’intrigue de chaque enquête se développe autour de multiples faits divers et leurs expositions médiatiques.

J’ai bien aimé l’insertion des médias dans cette série. Aujourd’hui pour un certain nombre d’enquêtes, divers journalistes et chroniqueurs interviennent, et font leur compte rendu dans la presse ou à la télévision. Voilà pourquoi cette série m’a intrigué, et m’a donné envie de la découvrir. Elle reflète la société actuelle, et la dénonce. Le premier épisode en est d’ailleurs un parfait exemple, quand c’est un journaliste qui annonce une terrible nouvelle à un parent de la victime, et non la brigade criminelle.

Miriam Leone, alias Valeria Ferro est impressionnante dans son rôle d’enquêtrice torturée.

La première partie a été diffusée au mois de mai sur Arte et la seconde commence ce vendredi 4 août.

4 étoiles - série

Littérature ecossaise (Ecosse), Séries

La Freccia Nera

Acteurs : Valeria Cavalli, Jane Alexander, Ennio Fantastichini, Martina Stella, Riccardo Scamarcio…
Réalisateur : Fabrizio Costa
Audio : Italien
Genre: Historique

 

La Freccia Nera est librement inspiré du roman de Robert Louis Stevenson du même nom. Il s’agit d’un récit d’aventure et d’amour se déroulant en Italie au XVe siècle. La série a été produite par la chaîne italienne Mediaset en 2006. Elle comporte 6 épisodes

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Les protagonistes sont les jeunes Marco de Monforte, fils du noble défunt Richard de Monforte, et la belle et courageuse Giovanna Bentivoglio, dont les parents ont mystérieusement disparu alors qu’elle était encore petite.
Marco a été adopté par Raniero de Rottenburg qui soutient l’empereur, contre les factions des évêques de la papauté, dirigé par Vescovo Cusano, prince-évêque de Bressanone.
Marco rencontre pour la première fois dans Giovanna au cours d’une bataille. Ne réalisant pas que le soldat en face de lui est en réalité une fille, il la fait prisonnière. Giovanna, durant la bataille défendait le clan inverse, soit Vescovo Cusano.

Marco et Giovanna apprendront à se connaître mutuellement et commenceront un voyage ensemble qui les conduira à la recherche de la vérité contre un passé plein de mensonges.

Le contexte de la période historique voit l’opposition entre l’Empire et la Papauté, symboles d’une mentalité médiévale, et d’un esprit novateur et humaniste. Marco commence à y croire, en choisissant pour lui-même un nouveau destin, qui lui fera comprendre la différence entre le bien et le mal. Pour Giovanna, cependant, sa lutte pour défendre Cusano et son amour pour Marco sera l’occasion de mûrir et d’accepter sa féminité, son identité de femme à part entière.

En bref, il s’agit d’une bonne série, même si vers la fin un épisode en moins aurait été parfait. On a l’impression qu’ils avaient un cahier des charges à tenir et, qu’à un moment il avait un vide à combler. ça gâche un peu la tonicité globale de la série.

4 étoiles - série