Réalisateur : Wendy Rogers, Martin Hynes Audio : Français Durée : 103 minutes Genre: Animation
L’histoire:
Un jeune garçon volontaire relève le défi lancé par un roi : accomplir trois tâches impossibles en échange d’une éléphante magique… et de la chance de réaliser sa destinée !
Autrefois à Baltese régnait magie, joie et bonne humeur. Tout était possible. Puis, la grand guerre est arrivée et ce passé merveilleux a été oublié… Peter, un orphelin, est élevé à la dur par un ancien soldat. Il se sent différent des autres, puisque lui veut encore croire aux rêves et que tout est possible. La révélation d’une voyante va lui changer la vie et lui réserver bien des aventures.
Peter n’a de cesse de penser à ce que lui a dit la voyante. Il n’est pas orphelin, et sa sœur aurait survécu à la grande guerre. Prêt à tout, il compte retrouver cette éléphante qui doit l’aider à la retrouver. Mais comment trouver une éléphante dans une ville où il y en a aucune… Un magicien pas très doué va s’en charger, jusqu’à sa capture par la comtesse de la ville. La libérer va être compliquée, à moins qu’il réussisse les trois épreuves impossibles communiquées par le roi: gagner un combat, voler et faire rire quelqu’un.
Même si on se doute de la fin de l’histoire, celle-ci reste touchante et encourageante. Le tuteur de Peter est bien entendu contre ses agissements. Pour lui, il doit être un soldat et non un jeune garçon qui a des rêves. L’aide que lui offre le Capitaine Matienne est d’autant plus émouvante. Au fur et à mesure des exploits de Peter, l’espoir renait dans la ville et les habitants changent. Avec les flashback nombreux, on comprend mieux ce qu’il s’est passé pendant la grande guerre. On en devient triste et aussi déterminé à encourager Peter, dans ses épreuves quelques peu farfelues, tout comme son inventeur !
Détermination, engagement, courage, notre héros est inspirant. Il prouve que quand on veut, on peut. Il faut oser se dépasser et croire en soi. J’aime aussi croire que ce dessin animé pourra permettre d’expliquer aux enfants la dernière loi concernant la maltraitance envers les animaux sauvages. En effet, l’éléphante est enchainée et en prison pendant toute la durée du film… Sans vous en dévoiler totalement la fin, sachez qu’elle est émouvante.
En bref, une belle histoire pleine de douceur à découvrir à tout âge !
Réalisateur : Chris Williams (II), Owen Chietsu Sullivan Audio : Français Durée : 115 minutes Genre: Animation
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L’histoire:
À une époque où des créatures terrifiantes parcourent les mers, les chasseurs de monstres sont de véritables héros. Et aucun n’est plus adulé que le grand Jacob Holland. Mais lorsque la jeune Maisie Brumble embarque sur son navire légendaire, il trouve en elle une alliée inattendue. Ensemble, ils se lancent dans un voyage épique à travers des eaux inexplorées, et entrent dans l’Histoire.
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Mon avis:
Nouveau film d’animation signé Chris Williams (le coréalisateur de Vaiana), le monstre des mers nous emmène à la découverte des villages et des mers du Pacifique sud. A bord d’un bateau, nous suivons les aventures de légendaires chasseurs de monstres marins. Leur routine quotidienne est bien encrée : tuer des monstres pour protéger le peuple. Jusqu’à l’arrivée d’une jeune fille qui va finir par remettre en question certaines de leurs idées…
Dès les premières minutes et au vu du scénario, j’ai tout de suite pensé à la trilogie Dragon, qui fait partie de mes dessins animés préférés. Ici les vikings sont remplacés par des pirates, et les dragons par des monstres marins. On retrouve tout à fait l’atmosphère, alors que la réalisation n’est pas du tout la même.
On est plongé directement dans l’action, les combats et la guerre continuent depuis des siècles contre ces créatures. Maisie est une jeune fille au grand caractère, courageuse et fille de chasseurs. Elle forme un super duo avec Jacob Holland, l’adjoint du Capitaine Crown. Son intervention va bouleverser bien des vies et des points de vues. Jacob la trouve des plus agaçantes, mais finit par s’attacher à Maisie. Il écoute finalement sa vision de cette guerre, et doute lui aussi.
Très vite, on s’attache aux personnages, dont les personnalités sont bien travaillées. Jusqu’aux personnages secondaires, comme Sarah Sharpe, qui est le second du capitaine. Les illustrations sont soignées et détaillées. Etonnamment, les monstres le sont beaucoup moins. Du côté de l’histoire, j’aurais aimé en connaitre un peu plus sur les monstres marins. Mais peut-être est-ce pour laisser le mystère pour une prochaine suite des aventures.
En bref, j’ai passé un très bon moment à découvrir ce dessin animé. Toutes les clés sont là pour nous permettre de nous divertir, avec bien entendu des messages cachés !
Acteurs: John Lasseter, Brad Bird, John Musker, Ron Clements, George Lucas, Frank Thomas, Stacy Keach
Réalisateur : Leslie Iwerks Audio : Français Durée : 90 minutes Genre: Documentaire
L’histoire:
“L’histoire de Pixar” emmène le public dans les coulisses d’une entreprise révolutionnaire, qui a lancé la nouvelle génération d’animation et changé à jamais le visage du cinéma. Leslie Iwerks, la cinéaste nominée aux oscars (court-métrage documentaire), raconte l’histoire captivante du démarrage de Bay Area qui a révolutionné Hollywood, avec des séquences inédites prises dans la collection de Pixar, des animations historiques tirées des archives et des récits de première…
Mon avis:
Il y a plus de 100 ans, des artistes aimaient le dessin. Leur magie nous ouvrait de nouveaux horizons.
Avec ce reportage, on suit l’idée de trois visionnaires qui ont passé le dessin animé, de la 2D à la 3D. Il s’agit d’Ed Catmull, Steeve Jobs et John Lasseter.
On commence par faire la connaissance de ce dernier, lors de son entrée chez California Institut of Art, au coté de grands noms, comme Tim Burton, John Musker et Brad Bird. John commence ensuite son parcours chez Disney, avec notamment Rox et Rouky, mais les restrictions budgétaires sont déjà bien présentes, et empêchent quelque peu l’évolution de l’animation. Avec l’arrivée de Tron, un mélange d’informatique et d’animation traditionnelle, cette nouvelle technique fait peur à Disney, et il est licencié. La peur de l’ordinateur est là, mais la course vers l’espace prouve le contraire… Les images de synthèse voient le jour, et les techniques classiques peuvent être révolutionnées.
Georges Lucas avec Lucas Films utilisent cette nouvelle technique avec notamment La guerre des Etoiles. John rejoint alors Lucas Films avec Ed Catmull. Il est alors le seul animateur dans une équipe très variée en compétences, il y avait des scientifiques, des informaticiens, des architectes… Une première animation voit le jour dans le film Young Sherlock Holmes en 1985, et c’est un grand succès. Un ordinateur est ainsi développé, le Pixar Image, qui sera vraiment lancé avec la rencontre de Steeve Jobs, qui va les soutenir financièrement.
Plusieurs court-métrages sont ainsi créés, dont le premier avec la fameuse lampe. Des récompenses font connaitre leur travail, et des animations publicitaires les font connaitre au grand public. Mais les logiciels ne rapportent pas suffisamment, et Steeve Jobs perd de l’argent. Disney offre alors à l’équipe la réalisation de leur rêve, la création d’un long métrage: Toy Story !
L’animation en images de synthèse voit le jour, et c’est le succès !
L’art défit la technologie. La technologie inspire l’art.
Ce qui est super avec ce reportage, c’est qu’on suit vraiment tout le parcours de la naissance de Pixar, des personnes importantes qui l’ont créé, et on découvre les dessous du premier long métrage. On voit vraiment tous les détails, les différents scénarios, les dessins préparatoires, le travail entre techniciens et artistes, le travail des acteurs… jusqu’à la nécessité de la création d’un studio Pixar et de son entrée en bourse, et la peur que le projet suivant ne fonctionne pas autant. Il s’agit de 1001 pattes, qui grâce à de nouveaux progrès techniques, devient le film d’animation le plus rentable des années 1990. On suit ensuite les difficultés qu’a connu la création de Toy Story 2, et le recrutement de deux nouveaux animateurs: Pete Docter a qui on doit Monstres et Cie, Andrew Stanton avec Nemo et Brad Bird avec Les Indestructibles.
Un documentaire qui est tout bonnement passionnant. On se sent vraiment plongé dans l’univers de l’animation, de la naissance à la mise en vie des images de synthèse, de l’histoire et du parcours fou de trois visionnaires, jusqu’aux conditions et ambiances de travail, et des conflits entre Disney et Pixar.
Jesper, qui s’est distingué comme le pire élève de son école de facteurs, écope d’une mission sur une île enneigée, au nord du Cercle arctique. Là-bas, les habitants ne s’entendent pas et ne se parlent presque jamais. Autant dire qu’ils n’entretiennent pas non plus de correspondance ! Alors que Jesper est sur le point d’abandonner, il trouve une alliée en la personne d’Alva, l’institutrice de l’île, et fait la connaissance de Klaus, mystérieux menuisier qui vit seul dans son chalet regorgeant de jouets artisanaux. Grâce à ces relations amicales inattendues, la petite ville de Smeerensburg retrouve la joie de vivre. C’est ainsi que ses habitants découvrent la générosité entre voisins, les contes de fée et la tradition des chaussettes soigneusement accrochées à la cheminée pour Noël !
Mon avis:
Klaus, film d’animation disponible sur Netflix, nous propose une revisite des légendes de Noël. Nous sommes ainsi embarqués en Scandinavie au XIXe siècle, où l’on rencontre Jesper Johensson. C’est un jeune homme exaspérant, qui vit dans le luxe, et qui ne veut rien faire de sa vie, à part être servit et qu’on réponde à ses moindres désirs. Mais le père voit le destin de son fils très différemment, et l’oblige à travailler, ce qui n’est point un succès. Afin de le faire réagir, il lui propose un chantage, et l’envoi dans la ville sinistre de Smeerensburg, dans le Cercle Polaire. Il aura pour mission d’envoyer un quota de lettres dans un temps donné, sinon il sera déshérité… Et la tâche ne s’avoue pas facile, les habitants sont quelques peu spéciaux, et vont donner du fil à retordre à ce jeune facteur.
Vous allez me dire, où est le lien avec Noël !? Hé bien justement c’est ce que j’aime dans ce film. On se demande justement quand le fameux personnage va arriver, et dans quel contexte. Même si Jesper est une véritable tête à claque, on finit par s’attacher à lui. Les habitants de cette petite île, habitués à une guerre de clans depuis des siècles ne lui rend pas la vie facile. Mais c’est dans les enfants, la nouvelle génération, que vient l’espoir d’une vie nouvelle. Et c’est justement avec eux, que Jesper va pouvoir se révéler et faire d’agréables rencontres. Le chantage est toujours présent, qui au début de l’aventure parait comme une véritable échappatoire, mais vers le milieu de l’histoire, c’est un changement radical qui se produit, et notre héros en a bien conscience. Le personnage de Monsieur Klaus finit par entrer en scène, et même si on peut en avoir peur au début, c’est un homme charmant, dont on va découvrir l’histoire au fur et à mesure, et voir naître en lui le Père Noël.
Tourné en 2D traditionnel, Klaus est une véritable réussite. Empli d’émotions, et de beaux messages pleins d’espoir et d’amour, cette superbe réalisation signée de Sergio Pablos, co-créateur de Moi, moche et méchant, ne nous laisse pas indifférent. On rigole, on sourit, et on peut même en avoir les larmes aux yeux, en suivant l’aventure de nos héros. L’univers de Noël nous est dévoilé au fur et à mesure. Chaque petite anecdote, qui en fait le mythe nous rend heureux, et nous amène le sourire.
A vous maintenant de plonger dans la magie de Noël, et de retrouver vos yeux d’enfants !
Studio : Disney – Pixar Réalisateurs : Lee Unkrich, Adrian Molina Audio : Anglais, Français Durée : 105 minutes Sortie : 6 avril 2018 Genre: Jeunesse, Fantastique Lien Amazon
Résumé:
Depuis déjà plusieurs générations, la musique est bannie dans la famille de Miguel. Un vrai déchirement pour le jeune garçon dont le rêve ultime est de devenir un musicien aussi accompli que son idole, Ernesto de la Cruz.
Bien décidé à prouver son talent, Miguel, par un étrange concours de circonstances, se retrouve propulsé dans un endroit aussi étonnant que coloré : le Pays des Morts. Là, il se lie d’amitié avec Hector, un gentil garçon mais un peu filou sur les bords. Ensemble, ils vont accomplir un voyage extraordinaire qui leur révèlera la véritable histoire qui se cache derrière celle de la famille de Miguel…
Rien n’est plus important que ceux que vous aimez…
Mon avis:
Voici encore un Disney Pixar qui m’a comblée. Il est vrai qu’après avoir lu l’histoire, j’étais sceptique. Un dessin animé qui parle de la mort, mouais… Curieuse, j’ai fini par aller le voir, et quelle heureuse surprise. Ce film est adorable, émouvant, rythmé et étonnamment coloré.
On suit les aventures de Miguel et de sa famille qui se préparent à fêter la traditionnelle fête mexicaine des morts, el Dia de los muertos. Ce petit garçon est passionné de musique, mais il ne comprend pas pourquoi sa famille l’a en horreur. Il compte bien élucider ce mystère.
Coco nous offre un voyage poétique dans un monde qui mêle les êtres vivants et morts. L’histoire m’a captivé, et comme Miguel on se demande pourquoi la musique a-t-elle était bannie dans sa famille. C’est un plaisir de le suivre, et de connaitre les membres de sa famille disparue. On y découvre l’importance qu’à la mémoire familiale. C’est un véritable ode à la vie qui ne pourra que vous touchez. Et que dire de la musique, si ce n’est qu’elle m’a donné envie de sortir ma guitare ! En tout cas, je vous recommande vivement d’aller le découvrir, si ce n’est pas encore fait.
Un renard chétif tente de se faire une place de prédateur face à un lapin idiot, un cochon jardinier, un chien paresseux et une poule caractérielle. Il a trouvé une stratégie : il compte voler des œufs, élever les poussins, les effrayer et les manger.
Mon avis :
Avec Le Grand Méchant Renard, entrez dans un monde plein douceur et d’amour. Dès les premières pages, on ne peut s’empêcher de rigoler et de s’attendrir devant les personnages, tous les uns aussi touchant. On passe un pur moment de bonheur à suivre les péripéties de notre renard, et à se demander comme il va s’en sortir. Une fois que nous sommes entré dans l’histoire, on est happé jusqu’à la fin.
Ce livre est un régal autant pour l’histoire que pour les illustrations parfaitement réalisées.
Pour information, l’histoire existe aussi en film, et j’ai hâte de le découvrir !
Studio : EuropaCorp Acteurs : Mathias Malzieu, Olivia Ruiz, Grand Corps Malade, Jean Rochefort, Rossy de Palma Réalisateurs : Stéphane Berla, Mathias Malzieu Audio : Français Durée : 94 minutes Sortie DVD : 2 Juillet 2014 Genre: Animation Lien Amazon
L’histoire:
Édimbourg 1874. Jack naît le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Le Docteur Madeleine le sauve en remplaçant son cœur défectueux par une horloge mécanique. Il survivra avec ce bricolage magique à condition de respecter 3 lois: premièrement ne pas toucher à ses aiguilles, deuxièmement maîtriser sa colère et surtout ne jamais Ô grand jamais, tomber amoureux. Sa rencontre avec Miss Acacia, une petite chanteuse de rue, va précipiter la cadence de ses aiguilles. Prêt à tout pour la retrouver, Jack se lance tel un Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais, à Paris jusqu’aux portes de l’Andalousie.
Mon avis:
Ce film d’animation inspiré d’un livre éponyme de Mathias Malzieu met parfaitement en lumière la magie du livre.
Les personnages sont tout d’abord très attachant et pleins de charme. Des voix de célébrités talentueuses leurs sont attribués. On retrouve ainsi Bashung, Olivia Ruiz, Jean Rochefort, Grand Corps Malade, Arthur H et évidemment Mathias Malzieu. Comme avec le livre, on se laisse conter l’histoire qui nous fait voyager et rire. Le graphisme des images du film peut faire penser à l’univers de Tim Burton. Il reste tout de même familial, grâce aux beaux messages qui y sont véhiculés.
En bref, une magnifique histoire, une bande originale incroyable, des dialogues amusants, des acteurs talentueux, des images qui font rêver, du romantisme, et surtout de la poésie ! Comme il est marqué sur l’affiche, “un chef d’oeuvre” !
On se retrouve avec un nouveau top 10, et cette fois spécial dessins animés
Je vous propose une liste de films d’animation que j’adore regarder. J’en ai découvert certains lors de mon enfance.
1. Mulan
Je n’ai jamais été princesse enfant, du coup je m’entendais très bien avec Mulan. Elle m’a toujours fasciné par son grand courage, et sa force de caractère. C’est un dessin animé que j’adore regarder encore et encore. J’ai hâte de voir l’adaptation en film de ce dessin animé qui est d’ailleurs en préparation.
Résumé : Mulan est une belle jeune fille qui vit dans un village chinois. Malgré son amour et son respect pour sa famille, son mépris des conventions l’éloigne des rôles dévolus aux filles dévouées. Quand son pays est envahi par les Huns, Mulan, n’écoutant que son courage, s’engage à la place de son père dans le but de lui sauver la vie. Elle va devenir, avec l’aide d’un dragon en quête de réhabilitation, un guerrier hors du commun.
2. Anastasia
Un autre dessin animé que j’adorais regarder petite, et qui me suit toujours. Ici il y a bien une princesse, mais elle ne le sait pas au début du film ! Elle est en quête de son identité et part à l’aventure pour savoir qui elle est. Autant l’avouer, j’avais un petit faible pour Dimitri !
Résumé: Saint-Pétersbourg, 1917. Comment l’impératrice Marie et sa petite fille Anastasia vont être sauvées du funeste sort, provoqué par la révolution, qui s’abat sur la famille impériale, par un jeune employé de cuisine : Dimitri. Mais le destin les sépare une nouvelle fois. Dix ans après la chute des Romanov, une rumeur persistante se propage : la fille cadette de l’empereur serait encore en vie…
3. Dragons
Un dessin animé qui est devenu une trilogie, et que j’ai découvert adolescente. J’apprécie encore regarder chaque film.
Résumé: L’histoire d’Harold, jeune Viking peu à son aise dans sa tribu où combattre les dragons est le sport national. Sa vie va être bouleversée par sa rencontre avec un dragon qui va peu à peu amener Harold et les siens à voir le monde d’un point de vue totalement différent.
4. Zambezia
Autre dessin animé découvert plus tard et qui me fascine. En France, il est sorti sous le nom de “Drôles d’oiseaux”, mais je n’aime pas ce nom, je trouve qu’il ne lui rend pas justice. Si vous ne le connaissez pas, alors foncez !
Résumé : Au cœur de l’Afrique, au bord des majestueuses chutes Victoria, se dresse l’étonnante Cité des Oiseaux, Zambezia, perchée sur un baobab géant.
C’est là que se rend Kai, un jeune faucon qui vit isolé avec son père dans la brousse et rêve de connaitre la ville. Débarquant en pleine effervescence des préparatifs de la Fête du printemps, il rencontre entre autres Jed, un oiseau oisif et farceur ainsi que la belle Zoe.
A eux trois, ils vont découvrir que la cité est sous la menace d’une attaque et qu’ils sont les seuls à pouvoir en sauver les habitants.
5. Age de glace
De beaux moments de fous rires avec cette trilogie. C’est rare que j’arrive à accrocher totalement avec les suites de dessins animés, mais celles-ci sont très bien réalisées.
Résumé : Vingt mille ans avant notre ère, lorsque Scrat, un rongeur obstiné, fend la banquise et déclenche un nouvel Age de Glace, une vaste cohorte de mammifères s’assemble et commence à émigrer vers le sud. Manny, un mammouth solitaire qui n’en fait qu’à sa tête, choisit d’aller vers le nord et se voit bientôt rejoint par Sid, un petit paresseux volubile en quête de protecteur. Ce dernier l’oblige bientôt à recueillir un bébé humain, Roshan, que sa mère leur a confié avant de mourir, et à ramener celui-ci à son père, chasseur nomade parti vers le nord. Sur leur chemin, les deux compères devront protéger Roshan de Diego, un tigre aux dents de sabre chargé par son chef Soto de capturer le bébé.
6. Shrek
Avec ce film, on rigole bien aussi. C’est toujours avec un grand plaisir que je me repasse les aventures de Shrek. Pour le coup, j’ai trouvé les suites un peu moins bien réalisées, mais elles restent toujours aussi drôle, et surtout il y a bien pire !
Résumé : Shrek, un ogre verdâtre, cynique et malicieux, a élu domicile dans un marécage qu’il croit être un havre de paix. Un matin, alors qu’il sort faire sa toilette, il découvre de petites créatures agaçantes qui errent dans son marais. Shrek se rend alors au château du seigneur Lord Farquaad, qui aurait soit-disant expulsé ces êtres de son royaume. Ce dernier souhaite épouser la princesse Fiona, mais celle-ci est retenue prisonnière par un abominable dragon. Il lui faut un chevalier assez brave pour secourir la belle. Shrek accepte d’accomplir cette mission. En échange, le seigneur devra débarrasser son marécage de ces créatures envahissantes. Or, la princesse Fiona cache un secret terrifiant qui va entraîner Shrek et son compagnon l’âne dans une palpitante et périlleuse aventure.
7. Pocahontas
On retourne avec un dessin animé que j’ai vu enfant. Je me souviens avoir eu la poupée à l’effigie de l’héroïne. Aujourd’hui, je ne le regarde pas aussi souvent que les autres, mais il a bercé mon enfance.
Résumé : En l’an 1607, La belle Pocahontas aura-t-elle le pouvoir d’éviter la guerre entre les colons anglais et son peuple, les Powhatan, et de sauvegarder ainsi ses amours avec le fringant aventurier John Smith, qui accompagne les colons ?
8. Ratatouille
Voici un dessin animé plus récent dont je ne me lasse pas de voir encore et encore.
Résumé : Rémy est un jeune rat qui rêve de devenir un grand chef français. Ni l’opposition de sa famille, ni le fait d’être un rongeur dans une profession qui les déteste ne le démotivent. Rémy est prêt à tout pour vivre sa passion de la cuisine… et le fait d’habiter dans les égouts du restaurant ultra coté de la star des fourneaux, Auguste Gusteau, va lui en donner l’occasion ! Malgré le danger et les pièges, la tentation est grande de s’aventurer dans cet univers interdit. Ecartelé entre son rêve et sa condition, Rémy va découvrir le vrai sens de l’aventure, de l’amitié, de la famille… et comprendre qu’il doit trouver le courage d’être ce qu’il est : un rat qui veut être un grand chef…
9. Moi, moche et méchant
Un autre dessin animé qui est toujours d’actualité pour passer un bon moment à rigoler.
Résumé : Dans un charmant quartier résidentiel délimité par des clôtures de bois blanc et orné de rosiers fleurissants se dresse une bâtisse noire entourée d’une pelouse en friche. Cette façade sinistre cache un secret : Gru, un méchant vilain, entouré d’une myriade de sous-fifres et armé jusqu’aux dents, qui, à l’insu du voisinage, complote le plus gros casse de tous les temps : voler la lune (Oui, la lune !)… Gru affectionne toutes sortes de sales joujoux. Il possède une multitude de véhicules de combat aérien et terrestre et un arsenal de rayons immobilisants et rétrécissants avec lesquels il anéantit tous ceux qui osent lui barrer la route… jusqu’au jour où il tombe nez à nez avec trois petites orphelines qui voient en lui quelqu’un de tout à fait différent : un papa. Le plus grand vilain de tous les temps se retrouve confronté à sa plus dure épreuve : trois fillettes prénommées Margo, Edith et Agnes.
10. Monstres Academy
Un peu dans le même style que le précèdent, et le petit dernier de la liste, parce qu’il en faut bien un !
Résumé : Même quand il n’était qu’un tout petit monstre, Bob Razowski rêvait déjà de devenir une Terreur. Aujourd’hui, il est enfin en première année à la prestigieuse université Monstres Academy, où sont formées les meilleures Terreurs. Son plan de carrière bien préparé est pourtant menacé par sa rencontre avec James P. Sullivan, dit Sulli, un vrai crack qui a un don naturel pour Terrifier. Aveuglés par leur désir de se prouver l’un à l’autre qu’ils sont imbattables, tous deux finissent par se faire renvoyer de l’université. Pire encore : ils se rendent compte que s’ils veulent que les choses aient une chance de rentrer dans l’ordre, ils vont devoir travailler ensemble, et avec un petit groupe de monstres bizarres et mal assortis…