Séries

The Gilded Age

The Gilded Age

Acteurs : Carrie Coon, Taissa Farmiga, Christine Baranski, Cynthia Nixon, Morgan Spector, Jeanne Tripplehorn, Donna Murphy, Katie Finneran, Linda Emond
Réalisateur : Julian Fellowes
Genre: Drame, Historique

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L’histoire:

En 1882, à la mort de son père, la jeune Marian Brook découvre qu’il ne lui a rien laissé. Elle quitte donc sa Pennsylvanie natale pour aller vivre chez ses tantes Agnes et Ada à New York, une ville en pleine mutation. En parallèle, George Russell, qui a amassé une fortune grâce à l’industrie ferroviaire, s’installe avec sa famille dans une magnifique demeure qu’il ont fait construire en face de chez Agnes. De part et d’autre de la rue, deux mondes s’opposent, en cette fin de XIXe siècle. Ce conflit entre les vieilles familles traditionnelles et les nouveaux riches new yorkais, dans des décors et des costumes somptueux, est une création de Julian Fellowes, à qui l’on doit “Downton Abbey”, série qui connut il y a quelques années un succès phénoménal.

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Mon avis:

Pour cette nouvelle série, Julian Fellowes nous emmène dans le New York de 1880, qui connait des évolutions que la vieille aristocratie a du mal à accepter. Entre lutte des classes, affrontement avec les nouveaux riches et idées révolutionnaires, The Gilded Age nous ouvre les portes de la «période dorée» de l’après-guerre de Sécession.

Un nouveau New-York est en train de se dessiner, quand Marian Brook arrive chez ses tantes, Agnes et Ada Van Rhijn, qui incarnent l’âge d’or de cette ville en pleine effervescence. Accompagnée de Peggy Scott, une jeune femme noire, lettrée et érudite qui souhaite écrire, elles vont devoir se trouver une place dans ce monde qui mêle tradition et modernité. Au fil des épisodes, on suit les relations complexes entre le New-York d’hier et de demain, comme à l’image de ces deux maisons qui se font face le long de la cinquième avenue. L’une est habitée par les Russell, une nouvelle famille fortunée qui a la volonté de s’imposer auprès des aristocrates en place, et l’autre les Van Rhijn qui ne comptent pas modifier leurs habitudes et leur cercle de connaissance.

The Gilded Age se trouve être dans la même lignée que la série Downton Abbey. Comme cette dernière, on y suit au plus près la vie des maîtres et des serviteurs, et s’ajoute au scénario la confrontation entre anciens et nouveaux riches, ainsi qu’entre blancs et noirs. Le tout avec un casting de qualité, des costumes magnifiques, des lieux et décors sublimes, dont nous gâtent à chaque fois le réalisateur. Même si j’ai trouvé par moment l’intrigue un peu longue, le dynamisme finit par revenir et nous tient en haleine jusqu’à la fin de cette première saison. A noter qu’une saison 2 est d’ailleurs déjà prévu !

note 3,5 étoiles

Littérature américaine (Etats-Unis), Séries

Bridgerton – Saison 1 (Netflix)

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Acteurs : Phoebe Dynevor, Rege-Jean Page, Julie Andrews, Jonathan Bailey, Adjoa Andoh, Luke Thompson, Luke Newton, Claudia Jessie, Ruth Gemmell, Nicola Coughlan, Harriet Cains, Bessie Carter, Golda Rosheuvel…
Réalisateur : Chris Van Dusen, Shonda Rhimes
Audio : Anglais, Français
Durée : 150 minutes
Genre: Historique, Comédie

 

L’histoire:

À Londres, pendant la Régence, Daphne Bridgerton, fille aînée d’une puissante dynastie, est censée se trouver un mari, mais la concurrence est rude ! Espérant suivre l’exemple de ses parents et faire un mariage d’amour, Daphne semble au départ avoir toutes les chances de son côté. Pourtant, dès lors que son frère aîné se met à rejeter ses prétendants les uns après les autres, le journal à scandales de la haute société londonienne, dirigé par la mystérieuse Lady Whistledown, propage des calomnies sur la jeune femme. C’est alors que débarque le séduisant et frondeur duc d’Hastings, célibataire endurci et meilleur parti du moment. Bien qu’ils s’en défendent, Daphne et le duc sont incontestablement attirés l’un par l’autre – et les voilà embarqués dans un jeu de dupes, tout en devant composer avec les injonctions de la société concernant leur union potentielle…

 

Mon avis:

Adapté des best-sellers de la romancière Julia Quinn, la série Bridgerton met en scène Daphné qui a atteint l’âge de faire son entrée sur la scène matrimoniale. Chaperonnée par sa mère et son frère, devenu vicomte depuis le décès de leur père, elle est présentée auprès de la Reine Charlotte avec d’autres débutantes. Ces premiers pas sont remarqués et même analysés par la nouvelle chroniqueuse à scandales: Lady Whistledown. Malgré des débuts prometteurs, la recherche d’un mari s’avère compliquée. Et c’est là qu’elle tombe par hasard sur le Duc d’Hasting, et il élabore ensemble un stratagème. Simon Basset n’a aucune intention de se marier, et il voit dans cet arrangement une solution pour être tranquille des mères marieuses, et ainsi permettre à la sœur de son ami de se faire remarquer et courtiser. Mais des fois à trop jouer, on peut se brûler les ailes…

Daphne Bridgerton sait que sa destinée est liée à un bon mariage pour elle et sa famille. Elle connait la charge que représente de trouver un bon parti dans cette société prévictorienne. De débutante, elle deviendra une femme avec des obligations et pourra prendre son destin en main. Et comme dans le roman, elle n’a pas l’intention de se laisser faire, comme en témoigne sa répartie. A ses côtés, on trouve Simon Basset qui n’a pas eu une enfance facile et ses difficultés le hante encore aujourd’hui. Entre dynamisme et humour, on suit les aventures de nos héros, avec en parallèle d’autres histoires des familles Bridgerton et Featherington. En comparaison aux romans, on retrouve pas mal d’éléments clés, mais aussi son rythme. Qu’est ce que j’ai rigolé en me rappelant certaines scènes du livre. Quelques changements ont été fait, mais assez mineurs finalement, avec l’insertion de quelques personnages par exemple. Quelques notes de modernité ont aussi été ajouté notamment avec le choix du casting, et il me plait. On n’est pas dans l’adaptation d’un Charles Dickens, mais dans un roman de Julia Quinn écrit à notre époque. Des libertés sont prises dans l’écriture par rapport à des faits historiques, et le sont aussi dans la série. Les acteurs sont ainsi plus en adéquation avec le monde actuel métissé, que celui de l’époque, tout en respectent ses codes. D’ailleurs dans l’intrigue de la série, la Reine Charlotte évoque ses origines avec la noblesse noire africaine, et introduit parfaitement l’histoire du Duc de Hasting. Et cette modernité ne s’arrêtent pas là. J’ai aimé ce moment où Daphné envoie son poing dans un certain personnage, ou encore cette soirée chez Lady Danbury où des femmes mariées se divertissent étonnamment, en oubliant les circonstances de leur union. Une petite note de féminisme. La famille des Bridgerton montre certes une belle image, avec un couple qui a trouvé l’amour et une veuve qui pleure encore son mari. Mais on découvre aussi un portrait de la société où la condition féminine et maritale pâtissent de bien de sacrifices, ou encore les classes populaires comme les commerçants ou artistes. Et enfin autre point que je tiens à souligner, ce sont les scènes charnelles qui ne s’arrêtent pas au pied de la porte et qui sont quelques peu débridés ! 

Du côté de l’esthétique du film, celui-ci est très soigné et quelques peu acidulé par les tenues, ce qui rappelle un certain film de Sofia Coppola. Les lieux de tournage sont magnifiques, tout comme les costumes. J’ai aussi aimé l’insertion d’autant de tableaux, peut-être un clin d’œil à la passion pour l’art de la Reine Charlotte, qui a d’ailleurs une belle place dans la série. On ressent qu’il y a eu beaucoup de recherches pour coller à l’époque, même si anachronisme il y a. Enfin pour la musique, j’ai souri en reconnaissant certaines chansons modernes réinterprétées par un quatuor à corde, nommé Vitamin String Quarte.

Mais il y a tout de même un point qui m’a ennuyé, c’est la fin du dernier épisode. Je n’étendrais pas mon propos pour ne pas vous spoiler, mais je trouve qu’avec le choix fait, ils ont cassé un mystère. (Dans les romans, on ne le découvre que dans le tome 4) Peut-être ne savait-il pas si la série aurait du succès et ont offert ainsi une fin. Je me demande comment va se passer la suite, même s’il n’y a que le téléspectateur qui est au courant, et non les personnages. Ca gâche du suspense. Réponse en 2022, avec la saison 2 qui a été commandée. Il va falloir être patient !

En bref, une série qui mixte historique et modernité, le tout en étant divertissante et acidulée. A savourer !

 

En bonus: découvrez les lieux de tournage via cet article, et quelques musiques réinterprété par Vitamin String Quarte.

Ma chronique du premier tome

Littérature américaine (Etats-Unis), Séries

Le cœur a ses raisons (When Calls the Heart)

Le cœur a ses raisons (When Calls the Heart)

Acteurs: Erin Krakow, Paul Greene, Lori Loughlin
Réalisateur : Michael Landon Jr.
Audio : Français
Durée : 60 × 60 minutes
Genre: Historique, Romance, Drame

L’histoire:

Elizabeth Thatcher, une jeune institutrice, entreprend un voyage vers l’Ouest. Issue d’une bonne famille, elle va découvrir Coal Valley, une ville minière habitée principalement par des veuves et des enfants, à cause d’un coup de grisou qui a coûté la vie à beaucoup d’hommes. Elizabeth va vite entrer en conflit avec le seul policier de la ville, qui a été envoyé à Coal Valley pour la protéger. Touchée par le destin des habitants, elle mettra tout son cœur pour aider les veuves et orphelins menacés d’expulsion…

 

Mon avis:

Le cœur a ses raisons est une série télévisée américaine, basée sur la série de roman du même nom écrite par Janette Oke. Disponible sur Netflix, je viens de finir la première saison.

On fait la connaissance d’Elizabeth Thatcher, une jeune femme de bonne famille en quête de liberté et d’indépendance. Elle quitte sa famille pour devenir institutrice dans une ville minière. Il est vraiment qu’avec ce scénario, j’ai pensé à un film et une série adapté aussi de roman: Under the Greenwood Tree, qui raconte l’histoire d’une institutrice dans un village d’ouvrier, et Poldark pour le contexte de la mine. Mais autant dire qu’avec une production de la Hallmark, on est très loin des productions de ITV et de la BBC, où le contexte historique et social sont quelque peu délaissés ici. A vrai dire, je m’y attendais un peu, au vu de leur production de téléfilm. Il y a tout de même un épisode où les femmes prennent la place des hommes dans la mine, qui m’a plu. Tout de même pas assez développé, et il y avait matière. Mais bon, ce n’est pas la spécialité de la production. Il est vrai que je serais aussi curieuse de découvrir les romans, afin de savoir s’ils sont plus engagés, mais n’existant pas en français, ça ne sera point possible. Je dirais que j’ai tout de même passé un bon moment à visionner cette première saison, qui est certes légère, mais divertissante. Cette série me fait penser aussi à une autre que je regardais enfant, pour l’ambiance : Docteur Quinn.

Je compte continuer par curiosité, et voir ce que la suite réserve. Connaissez-vous cette série, et l’avez-vous regardé ?

 

note 3 étoiles

Séries

Carnival Row (Prime Video)

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Acteurs : Orlando Bloom, Cara Delevingne, Tamzin Merchant
Réalisateurs : René Echevarria, Travis Beacham
Durée : 416 minutes
Genre: Drame, Fantastique, Policier

 

 

L’histoire:

Dans un monde fantastique à l’époque victorienne, où les créatures mythologiques doivent cohabiter avec les humains, le détective Rycroft Philostrate et une fée réfugiée du nom de Vignette Stonemoss vivent une dangereuse relation au cœur d’une société de plus en plus intolérante.

 

Mon avis:

Carnival Row nous plonge dans un univers mélangeant streampunk et créatures fantastiques, avec au commande Cara Delevingne et Orlando Bloom. On comprend assez vite que l’un des sujets principaux concerne le racisme et l’immigration. Dans ce monde où se côtoie fées, centaures, faunes, pucks… et humains, la tension est à son comble. L’intolérance envers les créatures fantastiques ne fait qu’augmenter, et c’est dans ce contexte que nos héros se retrouvent: Vignette, une fée et Philo, un humain. Ce dernier est détective, et enquête sur le meurtre d’une fée.

Ce qui m’a décidé de regarder cette série, c’est déjà de pouvoir retrouver Orlando Bloom à l’écran, mais aussi cet univers victorien et fantastique. Dès le premier épisode, nous entrons directement dans l’action. L’histoire de nos héros nous est dévoilée au fur et à mesure, nous jonglons ainsi entre passé et présent. Un Jack l’éventreur est à l’oeuvre dans la ville, où une guerre raciste entre différentes espèces règne. Les humains se sentent supérieurs face aux créatures, et le montrent bien. Beaucoup de mystère et de secret rythment l’intrigue, on met ainsi du temps à découvrir qui sont vraiment nos héros, et leur lien. Et Philo n’est pas au bout de ses surprises. L’enquête sur ses meurtres est difficile, et en plus elle semble mener jusqu’à lui…

L’esthétique des images est bien travaillée, et nos créatures superbes. Même si je suis un peu déçue par les fées. Autant elles sont superbes en vol, mais quand elles sont au sol, on dirait que leurs ailes sont des bouts de tissus très fragiles… Du côté des acteurs, Orlando Bloom a su me convaincre à nouveau. Un peu moins Cara Delevingne, mais elle forme un très beau duo avec Orlando Bloom.

En résumé, Carnival Row est une bonne série, qui mêle histoire d’amour, fantasy et meurtres ! Je suis curieuse de découvrir la suite.

4 étoiles - série

Littérature américaine (Etats-Unis), Séries

Les Chroniques de Shannara

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Acteurs : Austin Butler, Poppy Drayton, Ivana Baquero, Manu Bennett, Aaron Jakubenko
Réalisateurs : Alfred Gough, Miles Millar
Audio : Anglais, Français
Durée : 840 minutes
Genre: Aventure, Fantasy

 

L’histoire:

Des millions d’années après l’extinction de la civilisation que nous connaissons, les Quatre Terres sont menacées par la mort imminente de l’Arbre protecteur Ellcrys qui renferme des forces terribles et obscures. A chaque feuille tombée, les démons se réveillent de l’au-delà. La princesse Amberle, le demi-elfe Wil et la solitaire Eretria commencent alors leur quête contre les forces du Mal. Ils sont guidés dans ce combat par le druide Allanon, lequel maîtrise la magie…

 

Mon avis:

Les Chroniques de Shannara sont inspirées de la saga littéraire d’héroic fantasy de Terry Brooks. On nous emmène dans un futur post-apocalyptique, où la magie a remplacé la technologie. Les elfes sont menacés d’extinction, car leur arbre protecteur l’Ellcrys qui les protège, est en train de mourir. La princesse Amberle découvre qu’elle possède une étrange connexion avec cet arbre, et devient celle qui est destinée à le sauver, ainsi que son peuple. Dans cette quête, elle est accompagnée par un jeune homme mi-elfe et mi-humain héritier d’un grand pouvoir Will, ainsi que d’une jeune voleuse solitaire Eretria. Sous la direction d’un druide, les trois héros doivent sauver le royaume, mais les choses se compliquent quand un trio amoureux se forme.

Le scénario est intéressant et me donne d’ailleurs envie de découvrir la saga littéraire, mais malheureusement dans la série je le trouve mal exploité. Le côté graphique de la série est très bien amené, avec un tournage en Nouvelle Zélande, qui n’est pas sans rappeler le Seigneur des Anneaux. La musique est aussi très intéressante, j’aime beaucoup le générique. Même si je n’ai pas été tout à fait convaincue, j’ai enchaîné les épisodes de la saison 1 à la saison 2 avec une certaine curiosité. Et c’est maintenant que je vais vous faire part des faiblesses que j’ai ressentis. Déjà le trio d’acteurs n’est pas très convainquant et manque de dynamisme. Je trouve aussi que l’histoire se concentre un peu trop sur leur romance, et que la quête aurait pu être plus développée. L’histoire aurait été plus accrocheuse. D’ailleurs cette série n’aura pas de saison 3, plus qu’à lire les livres pour découvrir la suite.

2,5 étoiles

Séries

Reign : Le Destin d’une reine

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Acteurs : Adelaide Kane, Toby Regbo, Torrance Coombs, Megan Follows, Rachel Skarsten
Réalisateurs : Laurie McCarthy et Stephanie Sengupta
Sortie : 18 Octobre 2013
Genre: Drame, Fantastique

 

L’histoire:

Adaptation fantastique de l’adolescence de Marie Ière Stuart, Reine de France et d’Ecosse au XVIème siècle.

1557. Après avoir passé plusieurs années dans un couvent sur le Mont St Michel, Marie Stuart, 15 ans, Reine d’Ecosse depuis la mort de son père alors qu’elle n’avait que six jours, fait son entrée à la Cour de France où son futur mari, le Prince François, l’attend. Accompagnée de ses meilleures amies, Kenna, Greer, Aillie et Lola, qui sont aussi ses sujets, elle est bien décidée à embrasser sa destinée. Cependant, elle découvre que sa vie est constamment en danger : on essaie d’abord de l’empoisonner, puis de la violer. Des forces obscures et mystérieuses semblent même l’entourer…

 

Mon avis:

Reign est une série américaine qui nous raconte l’histoire de Mary Stuart, Reine d’Ecosse. Il faut plus voir cette série, comme fantastique, plutôt qu’historique. C’est la note qu’a voulu ajouter la chaîne CW, qui la caractérise bien. A travers les 4 saisons, on suit le destin de cette reine, d’abord en France, puis en Ecosse. Le casting est bon. Adelaide Kane est d’ailleurs impressionnante. On l’a voit passer de jeune adolescente un peu perdue, à une femme de pouvoir. Les lieux de tournage choisi, nous font rêver. Les costumes sont de pures merveilles. La musique colle bien aussi à l’univers historique fantastique de cette série. Finalement ce qu’il m’a le moins charmé, c’est l’intrigue qui se dégrade au fil des saisons. Ce qui autant dire est problématique ! Même si dans la saison 1, le fil directeur des épisodes n’étaient pas très clair, je n’ai pas manqué un seul épisode, que j’avais hâte de voir à chaque sortie. Des éléments fantastiques viennent s’ajouter dans les intrigues de la cour de France. Au programme: histoires d’amour, magie, jeux de pouvoir, drame… Cependant, j’ai trouvé que la série s’essoufflait au fil des saisons. L’arrivée de Elisabeth 1er, jouée par Rachel Skarsten, ajoute tout de même un peu de mordant. Mais c’est surtout la dernière saison qui m’a le plus déçu, dont la fin je trouve a été bâclée.

2,5 étoiles