Éditeur : Le livre de poche
Collection: La lettre et la plume Pages : 288 pages Parution : 2 Mai 2012 Tome : 01/01 Format: Poche
Genre: Témoignage Lien Amazon
L’histoire:
En 1847, Gustave Flaubert et son ami Maxime du Camp partent de Paris vers l’ouest pour un voyage de plusieurs semaines… De Vannes à Fougères, à pied, en diligence ou en canot, ils arpentent landes et grèves, visitent chapelles et monuments, dînent à l’auberge, participent aux fêtes… puis, chacun à son tour, racontent leur périple. Leur récit se lit aujourd’hui comme un guide vivant et poétique des hauts lieux de la Bretagne.
La lettre et la plume, une collection qui marie littérature et histoire au travers d’écrits intimes (mémoires, correspondances, journaux, chroniques…) d’une grande qualité littéraire.
Mon avis:
Au printemps 1847, Gustave Flaubert et Maxime du Camp, partent ensemble pour une escapade de deux mois sur les bords de Loire en passant par la Bretagne. Quel plaisir se fut, lors de ma lecture, de voir citer des noms de villes où des lieux que je connaissais déjà. On les suit ainsi de ville en ville, à travers champs et marais, ou bien longeant le littoral. Le soir, ils s’arrêtent le plus souvent dans des auberges ou encore des pensions. On découvre aussi leurs impressions sur les lieux visités. Ne vous attendez pas à un vrai récit de voyage, ce sont des extraits avec leurs ressentis.
Éditeur : Le livre de poche jeunesse Pages : 288 pages Parution : 13 Novembre 2014 Tome : 01/01 Format: Poche
Genre: Jeunesse, Classique Lien Amazon
Résumé:
Une année, avec ses joies et ses peines, de la vie de Meg, Jo, Beth et Amy March, quatre sœurs âgées de onze à seize ans. Leur père absent – la guerre de Sécession fait rage et il est aumônier dans l’armée nordiste -, elles aident leur mère à assumer les tâches quotidiennes. Ce qu’elles font avec leur caractère bien différent : Meg, la romantique, qui va éprouver les émois d’un premier amour ; Jo, qui ne se départit jamais d’un humour à toute épreuve ; la généreuse Beth ; la blonde Amy, enfin, qui se laisse aller parfois à une certaine vanité…
Mon avis:
Ce livre a été une belle découverte pour moi. En effet, bien qu’il est connu et considéré comme un classique jeunesse, je ne l’avais encore jamais lu, mais vu son adaptation cinématographique il y a quelques années.
Dès les premières pages, on rentre dans le vif du sujet, et on fait connaissance avec les 4 sœurs aux personnalités bien différentes, mais tout de même très attachantes. En pleine guerre de Sécession, ces jeunes filles attendent leur père partit à la guerre avec leur mère. Elles cherchent ainsi à dynamiser leurs vies en jouant toutes ensembles, mais aussi avec leur nouveau voisin qui les rejoint. Au fil des pages, on rigole avec eux, mais on apprend aussi. De nombreux conseils d’éducation, de respect sont présent dans ce livre.
Ce roman est vraiment touchant et très bien écrit. On ne s’ennuie pas une minute. Je vous le conseille pour ceux qui ne l’on pas encore lu.
Ce roman d’amour sur fond de scandales et d’intrigues se déroule dans l’Angleterre rurale de la fin des années 1820. Il met en scène Molly, la fille rebelle d’un médecin de campagne, les aristocrates locaux qui, depuis l’imposant château de Cumnor Towers, règnent en maîtres absolus sur ce coin perdu des Midlands, les notables, les domestiques, les paysans, les animaux mais c’est avant tout la nature humaine dans la toute-puissance de ses pulsions et de ses désirs si impitoyablement réprimés par la société victorienne qu’Elizabeth Gaskell place au centre de la trame. Avec un art de la subversion qui lui est propre et une sensualité envoûtante elle nous transporte dans un univers bruissant de robes en taffetas et de commérages meurtriers, de hennissements de chevaux et de soupirs d’amour, où les femmes et les hommes sont aux prises avec l’ordinaire mystère de la vie. “Il s’agit de l’amour, comment il apparaît, comment il grandit, comment il peut briser nos cœurs ou nous rendre heureux ; il s’agit des erreurs que nous faisons et des secrets que nous devons garder…” La délicatesse de son ton et sa subtilité psychologique élèvent Elizabeth Gaskell au rang des plus grands écrivains et – malgré le siècle qui nous sépare – nous rendent son œuvre d’une intime proximité.
Mon avis:
Dans ce roman, Elizabeth Gaskell nous dépeint la condition humaine et féminine au XIXème siècle en Angleterre. Les personnages sont attachants, et c’est avec plaisir que nous suivons leurs aventures. L’écriture de l’auteure est douce, et c’est avec plaisir qu’on tourne les pages de ce petit pavé. Par contre, il faut savoir que l’auteure n’a jamais pu finir son roman. Une fin alternative, quelque peu abrupte, nous est proposée.
Éditeur : Le livre de poche
Collection: La lettre et la plume Pages : 160 pages Parution : 18 Mai 2011 Tome : 01/01 Format: Poche
Genre: Romance Lien Amazon
Résumé:
A l’âge de cinquante-sept ans, après une vie amoureuse déjà fort remplie, Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais rencontre Amélie Houret de La Morinaie, qui sera sa dernière maîtresse. Il s’éprend follement de cette femme qui excite le désir et feint la vertu. Leur liaison, à laquelle ne manqueront ni les scènes de jalousie ni les déclarations torrides, s’éclaire grâce à la correspondance, longtemps inédite, que les amants échangèrent pendant plus de dix ans. ” Nos corps, doux instruments de nos jouissances, n’auraient que des plaisirs communs sans cet amour divin qui les rend sublimes. ”
Mon avis:
En ce jour de Saint Valentin, ce livre est parfaitement dans le thème. On y découvre des lettres d’amour entre Beaumarchais et sa maîtresse. Ce livre est remplit de beauté. Les mots, les phrases sont comme des poèmes, des odes à l’amour. J’ai vraiment passée un bon moment à lire ses lettres. Un petit secret: je rêve même secrètement de recevoir ce genre de déclaration!
Le seul gros problème de ce livre, et qu’il manque des lettres, on ne peut pas vraiment suivre et bien comprendre leur histoire. Mais cela ne m’a pas empêché d’apprécier ce livre, surtout l’ayant savourer sur plusieurs jours.
Éditeur : Le livre de poche
Collection: La lettre et la plume Pages : 128 pages Parution : 30 Janvier 2013 Tome : 01/01 Format: Poche
Genre: Classique, Autobiographie Lien Amazon
Résumé:
Inventeur du paratonnerre et respectable rédacteur de la Constitution américaine, Benjamin Franklin était aussi, on le sait moins, un facétieux chroniqueur. Dans ces textes impertinents et excentriques, il prodigue une série de recommandations réjouissantes, de l’art de choisir sa maîtresse (en huit excellentes raisons, dont la plus surprenante est sans doute qu’elle ne doit pas être trop jeune…) à la meilleure façon de transporter un serpent à sonnettes, ou de devenir la reine des commères. Preuve, s’il en était besoin, que l’humour ne connaît ni les frontières ni les âges.
Mon avis:
Benjamin Franklin est un homme aux multiples talents. Et un que je ne lui connaissais pas encore est son humour. Ce livre est très agréable à lire, et pratique quand on est dans les transports, ou que l’on attend un rendez vous. Il est composé de plusieurs lettres avec des thèmes différents. J’ai vraiment passé un bon moment avec ce livre. Benjamin Franklin écrit extrêmement bien, et il est très agréable à lire. J’ai bien rit aussi, ce qui m’arrive assez rarement avec un livre. A savoir que le titre du livre ne fait pas référence à toutes les lettres qui y sont présentes. Il y a même une chanson à boire!
Bref une bonne découverte et je compte bien me procurer d’autres livres de cette collection “La lettre et la plume” qui me semble prometteuse.
Éditeur : Points
Collection: Grands romans Pages : 704 pages Parution : 25 Novembre 2010 Tome : 01/01 Format: Poche
Genre: Classique Lien Amazon
L’histoire:
Après une enfance passée dans un village riant du Hampshire, Margaret Hale, fille de pasteur, s’installe dans une ville du Nord. Témoin des luttes entre ouvriers et patrons, sa conscience sociale s’éveille. John Thornton, propriétaire d’une filature, incarne tout ce qu’elle déteste : l’industrie, l’argent et l’ambition. Malgré une hostilité affichée, John tombera sous son charme.
Mon avis:
J’ai lu bien plus vite que je ne l’aurai cru, ce petit pavé. Le thème principal du roman, comme son titre l’indique, est le contraste entre les gens Nord et ceux du Sud. Ainsi, les gens du Sud sont vus comme des bourgeois, faisant beaucoup de choses pour se divertir. Ceux du Nord sont vus comme des orgueilleux, avares, travaillant beaucoup et n’ayant aucunes manières.
Nous suivons ainsi les pas de Margaret Hale, on l’a voit au début vivre à la campagne du Sud de l’Angleterre à Helstone. Mais son bonheur est de courte durée. En effet son père démissionne et quitte le presbytère qu’ils occupaient. Mr Hale décide de s’installer dans une ville du Nord de l’Angleterre, Milton, où il exercera la profession de précepteur. Dans cette région à l’opposé de ce qu’elle a connu, Margaret rencontrera Mr Thornton, un homme qui est tout ce qu’elle déteste: un ambitieux propriétaire d’une filature et qui tombera amoureux d’elle. Malgré des débuts difficiles, Margaret finira par trouver sa place dans le Nord.
Globalement, j’ai bien aimé lire ce lire en me remémorant l’adaptation de la BBC, que je trouve très correcte.
Un petit regret, je m’attendais à avoir à peu près le même style d’écriture que celui de Jane Austen. Mais l’histoire est beaucoup plus dur. Au final ce n’est pas un roman d’amour (même si il est présent), mais plutôt sur les luttes sociales.